À Katmandou, la Coupe du monde m’a rendu malade
4 juillet 2014
Aucun écran géant dans les rues, pas de cris qui risquent de réveiller les anti-foot et pas de bars ouverts après 22 h. Ces deux dernières nuits ont été paisibles à Katmandou. Dans la soirée du mardi 1er juillet, beaucoup craignaient que les deux prochains jours sans match allaient être tristes. Pour moi, cette pause arrivait à point nommé…